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Sardossa : l'agriculture de bientôt.

Sardossa (2009)

Le projet :    L'agriculture connectée, économique et écologique.
L'idée :
Des capteurs biologiques et dynamiques fournissent des données qualitatives et quantitatives en temps réel.
Le concept :
La micro-climatologie au niveau du terrain, pour améliorer les connaissances, prévenir certains risques, disséminations et pollutions, et optimiser les productions.
Les enjeux :
maîtriser les coûts de productions, améliorer naturellement les rendements, surveiller et protéger les cultures spéciales (haute valeur ajoutées et expérimentales)
La méthode :
rapprocher le monde de l'agriculture avec ceux de la surveillance automatique et celui de la production de capteurs biotroniques.

Notre apport :
Conception du projet, cahier des spécifications, cahier des charges, recherche de fournisseurs, suivi de projet, définition de catalogues de solutions, essais et labellisation, promotion des produits et services résultants.

Notre rôle : Outre le suivi opérationnel de ce genre de projets, le conseil, la formation, la gestion des projets.

Notre propos est de définir ce que peuvent apporter les technologies et méthodes des biomesures, dans le contexte particulier de l'installation de cultures à haute valeur ajoutée, ou jugées à risques, et de déterminer si une réponse satisfaisante est immédiatement disponible, ou réalisable, en l'état actuel.

Sardossa est l'application de la biomesure à l'échelle de la production agricole. Nous pensons que cette évolution est tout autant logique qu'inéluctable.

Logique, car savoir mieux et plus vite à quelles tendances, météo et physico chimiques, mes cultures sont exposées, permettra de connaître et contrôler leur développement d'une façon optimale.

Ineluctable, car comme tout  progrès, celui ci s'inscrit dans une démarche d'économie responsable,

Notre propos est de définir ce que peuvent apporter les technologies et méthodes des biomesures, dans le contexte particulier de l'installation de cultures à haute valeur ajoutée, ou jugées à risques, et de déterminer si une réponse satisfaisante est immédiatement disponible, ou réalisable, en l'état actuel.

Sardossa est l'application de la biomesure à l'échelle de la production agricole. Nous pensons que cette évolution est tout autant logique qu'inéluctable.

Logique, car savoir mieux et plus vite à quelles tendances, météo et physico chimiques, mes cultures sont exposées, permettra de connaître et contrôler leur développement d'une façon optimale.

Inéluctable, car comme tout  progrès, celui-ci s'inscrit dans une démarche d'économie responsable, dans laquelle le suivit de la qualité devient une réalité chiffrée. Moins de carburants, d'engrais, de pesticides, d'eau, grâce à un ensemble de systèmes de mesures connectés.

A ces bénéfices écologiques et productifs, s'ajoute une opportunité complémentaire ; celle de répondre à la question troublante de l'expérimentation des certains types de cultures génétiquement modifiés, Sardossa proposant naturellement un moyen de suivie et de quantification des dispersions de pollens ou de semences.

Dans la pratique, Sardossa se compose :

De capteurs placés sur le terrain. Ils exercent des mesures en continue ou chroniquement sur trois types principaux phénomènes : la micro météorologie, l'analyse qualitative, l'analyse quantitative.

La micro météorologie s'intéresse aux précipitations, aux températures, aux vents. Anémomètres, hygromètres, thermomètres, girouettes, vont former l'essentiel.

L'analyse qualitative s'intéresse à la composition des sols, de l'eau, des apports. Ces capteurs travailleront en fonction des besoins des cultures avec des possibilités de détections de niveaux.

L'analyse quantitative s'intéresse pour sa part aux mouvements de la faune et aux activités humaines.

Ces capteurs, autoalimentés, peuvent être regroupés par affinités ou par groupes fonctionnels. Ils sont connectés, par des liaisons hertziennes ou filaires, à une unité de traitement local, similaire à une centrale de gestion de processus, sorte de micro-ordinateur dit « embarqué » comme ceux que l'on trouve dans la plupart des véhicules, mais aussi pour la gestion d'accès, la surveillance de zones ou encore la gestion technique des bâtiments.

La capacité de traitement d'une telle unité locale répond principalement aux fonctions de regroupement et de transmissions d'informations à un niveau supérieur : celui du producteur.

A ce stade, le producteur est lui-même participe, à échelon intermédiaire, à un réseau de collecte et d'exploitation de données plus générales.

Le concept de Sardossa induit en effet une notion de partage de données, indispensable d'une part à la meilleure connaissance météo dans le sens du savoir et de la production, mais aussi dans celui de la surveillance de certaines cultures.